La douleur
Le froid de février attise la douleur
Laissée un soir d’hiver au ventre de la mère,
Quand la mort abandonne, aux larmes du malheur,
Une vie annoncée… un bonheur éphémère.
Envole toi mon coeur, emporte mes tourments,
Monte au plus haut des cieux déposer ma souffrance.
Mes rêves ne sont plus que des égarements
Avec de longs sanglots dans mon âme en errance.
Et passent les saisons avec ce manque en moi,
Cet abîme rempli de ta trop grande absence,
Un silence qui rend douloureux mon émoi.
De toi, je cherche un signe, un peu de ta présence.